Après un désastre écologique, Joseph Kamal vit seul. Fini la vie en société, fini les conflits, fini la culpabilité,…
Ce « Robinson » n’a pas de « Vendredi » pour l’accompagner…Et cela est pesant quand ça dure longtemps!
Réflexion sur ce que nous faisons de notre planète, sur ce que nous faisons de la société humaine, ce texte nous rappelle Malville de R. Merle, mais le personnage est seul et le reste. Est-ce mieux?
A vous de le lire…