Plusieurs romans graphiques sortent pour le centième anniversaire de Boris Vian, une bonne occasion de se
replonger dans l’œuvre de ce dandy touche-à-tout.
L’ambiance lourde et parfois malsaine est conforme à l’esprit du roman.
C’est une dénonciation de la ségrégation aux États-Unis dans les années d’après guerre.
Le prétexte de la censure que ce roman a subi à l’époque n’était pas celui-ci. Aujourd’hui, c’est avant tout ce que j’en retiens.
Dessins et textes très prenants! A lire pour fêter Boris!
Jean-Yves