Deux ans avant l'indépendance du pays, le colonialisme belge est toujours aussi répugnant : lors de l'exposition universelle de 1958, on expose encore un "village" congolais avec ses habitants qui sont censés s'occuper "comme là-bas"...
L'auteur raconte cette triste histoire à travers la vie d'une jeune femme qui, pleine de vie et d'illusions, va subir ce traumatisme.
La langue de Blase Ndala est plus policée ici que pour son premier roman ( J'irais danser sur la tombe de Senghor ) mais tout aussi plaisante.
A lire !
Jean-Yves